Comprendre le diabète gestationnel : explication, conseils et astuces

Comprendre le diabète gestationnel : explication, conseils et astuces

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Si vous venez tout juste d’apprendre que vous étiez sujette au diabète gestationnel, la première chose à faire est de ne pas paniquer ! Cette nouvelle va effectivement chambouler les futurs mois à venir, mais vous êtes capable de surmonter cette épreuve ! Dans cet article, on vous explique avec des mots simples ce que vous vivez pour mieux comprendre le diabète gestationnel et comment le gérer. On vous livre aussi et surtout des conseils pour vivre le diabète de grossesse de façon sereine au quotidien. Enfin, sur d’autres pages de notre site internet, vous trouverez beaucoup d’idées de recettes et de conseils pour baisser l’indice glycémique de vos repas !

Qu’est-ce que le diabète gestationnel ?

Le diabète gestationnel (DG), aussi appelé diabète de grossesse, consiste en un trouble de la tolérance glucidique et à une glycémie (taux de sucre dans le sang) particulièrement élevée pendant la grossesse. Selon le centre européen d’étude du diabète, le diabète gestationnel concerne 1 femme sur 10 dans le monde. 

On parle bien de trouble de la tolérance glucidique, car le diabète qui survient lors d’une grossesse n’est pas irréversible. Vous en serez donc potentiellement débarrassée après l’accouchement ! Mais il arrive aussi que le diabète ne s’en aille pas après une grossesse. On parle alors de diabète de type 2.  

Que se passe-t-il dans mon corps lors d’un diabète gestationnel ?

Très souvent, le diabète gestationnel survient après 24 semaines de grossesse. On vous explique pourquoi !

En réalité, toutes les femmes enceintes font ce qu’on appelle de la résistance à l’insuline (aussi appelé insulino-résistance). En effet, dès le début de la grossesse, le taux de sécrétion d’insuline et la sensibilité à celle-ci augmente. Au fur-et-à-mesure de la grossesse, le placenta va ensuite sécréter des hormones, qui vont entrer en conflit avec l’insuline et provoquer une insulino-résistance. Dans la majorité des cas, le pancréas s’adapte et parvient à augmenter sa production d’insuline. Mais cette augmentation drastique peut amener le pancréas à se fatiguer, et à ne plus avoir la capacité d’en produire en quantité nécessaire. Cette fatigue survient environ à la première moitié de la grossesse. Vous comprendrez donc que chez la femme atteinte d’un diabète gestationnel, le pancréas n’est pas capable de produire suffisamment d’insuline pour palier cette insulino-résistance. Cela entraîne l’apparition d’une hyperglycémie, puis l’apparition du diabète gestationnel.

Quels sont les risques pouvant amener à développer un diabète gestationnel ?

Pourquoi contracte-t-on un diabète gestationnel? Cette question revient fréquemment et nous allons tenter d’y répondre. Une étude scientifique nous apprend qu’il existe de nombreux risques pouvant éventuellement conduire au développement d’un diabète gestationnel. Parmi eux, on note par exemple  :

  • L’âge de la femme enceinte : Plus la femme est âgée et plus elle risque de développer un diabète gestationnel
  • Le surpoids et l’obésité avant la grossesse, mais aussi une grande prise de poids pendant la grossesse 
  • Des antécédents familiaux de diabète de type 2 : une femme dont un parent proche (parents, frères ou soeur) est porteur du DT2 sera plus à risque
  • Un diabète gestationnel lors d’une précédente grossesse : il n’est pas rare qu’une grossesse postérieure amène également à développer un diabète gestationnel, mais cela n’est pas systématique !
  • Les femmes nées avec un faible poids à la naissance ou atteintes de retard de croissance (International Federation Gynecology and obstetrics)
  • Les femmes atteintes du Syndrôme des Ovaires Polykystiques (SOPK) : elles présentent un risque deux fois plus élevé selon une étude de l’INSERM
  • L’origine ethnique de la mère : les femmes caucasienne ont moins de risque que les femmes originaires du Maghreb, d’Afrique subsaharienne ou d’Asie selon un rapport de la Haute Autorité de Santé

Comment détecter le diabète gestationnel ?

Quoi qu’il en soit, ce type de diabète est dépisté pendant une grossesse. Bien souvent, il est d’ailleurs dépisté dans le suivi global de la grossesse et non pas suite à des symptômes. Les étapes varient ensuite selon la présence ou non de facteurs de risque. 

  • Pour une femme ne présentant pas de facteur de risque, on réalise une analyse d’urine grâce à des bandelettes pendant le suivi ou lors de la première consultation. On cherche alors la présence de sucres. Si une présence de sucres est détectée, une analyse glycémique est demandée. Dans certains cas, on peut demander une hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO).
  • Si une femme présente au moins un facteur de risque, un dépistage glycémique (grâce au test HGPO) est réalisé à jeun dès le premier trimestre de grossesse
Infographie dépistage diabète gestationnel

Mais alors, comment savoir si on a un diabète gestationnel ?

Une fois le test HGPO réalisé, l’équipe médicale va regarder les résultats. Pas de panique, ils vous informeront du résultat bien assez vite ! Si toutefois vous voulez comprendre par vous-même vos résulats, sachez qu’on parle de diabète gestationnel lorsque la glycémie à jeun est supérieur à 0,92 g/L (la glycémie d’une personne lambda étant autour de 0,7 à 0,9 g/L). Ce taux est élevé et on peut alors dire que vous êtes en hyperglycémie. Cela signifie que le taux de sucre dans votre sang est plus élevé que ce qu’il ne devrait être normalement. 

Le résultat du test de diabète gestationnel sera alors négatif si aucune des trois valeurs de glycémie ne dépasse les seuils suivants :

*Source chiffres : selon le rapport mondial sur le diabète fait pas l’OMS

Test effectué Résultats chiffrés
Glycémie à jeun (au moins 8h sans manger)
5.1 mmol/L (0.92 g/L)
1 heure après une charge de 75g en glucose
10 mmol/L (1.80 g/L)
2 heures après une charge de 75g en glucose
8.5 mmol/L (1.53 g/L)

A partir de quand et jusqu'à quand peut-on être touchée par le diabète gestationnel ?

Le diabète gestationnel peut se manifester à tout moment de la grossesse, mais l’International Diabetes Federation nous informe qu’il est plus fréquent qu’il se manifeste après 24 semaines. Après une grossesse, il peut perdurer ou s’en aller. On distingue alors deux situations de diabète gestationnel : 

  • Les femmes avec un diabète latent, souvent inconnu, qui est alors révélé par la grossesse et qui se poursuit après l’accouchement
  • Les femmes qui sont sujettes à une anomalie de la tolérance glucidique, pour lesquelles le diabète va disparaître, au moins temporairement, après l’accouchement.

Quels sont les risques du diabète gestationnel pour la mère et l’enfant ?

En cas de diabète gestationnel, il est très important d’être pris en charge et de suivre les conseils donnés par les professionnels. En effet, le diabète gestationnel peut s’avérer compliqué à vivre, mais les risques pour la mère et l’enfant sont bien réels. Il est important de les prendre au sérieux afin d’éviter toute complication supplémentaire. Parmi les complications possibles, voici celles les plus fréquemment observées chez la mère et chez l’enfant. 

Complications pour la mère :

  • Pré-éclampsie : elle consiste notamment en une augmentation de la pression artérielle et la présence de protéines dans les urines. En conséquence, vous allez devoir rester alitée pour limiter les risques d’accouchement prématuré
  • Accouchement précoce
  • Hémorragie post-partum
  • Diabète de type 2 : risque accru de développer un diabète de type 2 après la grossesse
  • Maladies cardiovasculaires : elles peuvent survenir jusqu’à 20 ans après la grossesse
  • Dans le pire des cas, la perte fœtale et ou le décès de la mère

Complications pour l’enfant :

  • Le premier risque à connaître est celui lié à l’hypoglycémie de votre bébé à la naissance. Dans ce cas, l’équipe médicale vous conseillera mais il est probable qu’elle vous conseille d’essayer de nourrir le plus rapidement possible votre enfant
  • Macrosomie: Terme utilisé pour parler d’un bébé qui pèse plus de 4kg à l’accouchement. La macrosomie peut notamment entraîner des difficultés lors de l’accouchement, surtout par voie basse
  • Possible retard de maturation pulmonaire et donc d’éventuels problèmes de respiration à la naissance
  • Diabète de type 2 : l’enfant né d’un diabète gestationnel présente des risques de DT2, notamment précoce, et des risques d’obésité chez l’enfant
  • Dans le pire des cas, décès prématuré du fœtus
femme enceinte échographie

Si ces complications peuvent faire peur, sachez qu’un diabète gestationnel correctement géré limite grandement tous ces risques. A vrai dire, les risques présentés ci-dessus sont plutôt destinés aux cas où un diabète gestationnel n’est pas surveillé ni géré (sauf hypoglycémie du bébé à la naissance). Une femme enceinte, touchée par le diabète gestationnel mais bien géré, ne présentera pas plus de risque qu’une femme enceinte sans diabète. On vous explique comment bien gérer son diabète gestationnel pour limiter toutes complications ! 

J’ai du diabète gestationnel, mon accouchement va-t-il être déclenché ?

Dans la majorité des cas, oui. Même dans le cadre d’un diabète gestationnel très bien géré et si le bébé ne présente aucun signe de surpoids, l’équipe médicale recommande souvent un déclenchement de l’accouchement à terme. En revanche, la césarienne n’est pas systématique mais peut être recommandée selon différents critères (macrosomie notamment).

Comment traiter son diabète gestationnel ?

Nous avons vu les complications possibles, et cela a certainement dû vous pousser à vous poser une question : “comment je fais pour éviter tout ça?” ! Un traitement de diabète gestationnel réussi passe par plusieurs éléments. Dans un premier temps, la pathologie demande une autosurveillance de sa glycémie de façon quotidienne et rigoureuse. Il est aussi important d’être entouré d’une équipe médicale bienveillante et informée, qui va suivre l’évolution de la patiente et de son diabète. Un soutien moral auprès de ses proches est aussi primordial à une bonne gestion et permettra bien souvent d’éviter ou de limiter les craquages ! Enfin, la bonne gestion d’un diabète gestationnel passe par un changement d’alimentation. Pour faire tout cela en douceur, on vous livre nos conseils ! 

1. L’autosurveillance glycémique

Une femme enceinte ayant un diabète gestationnel doit pratiquer l’autosurveillance glycémique, c’est à dire qu’elle doit surveiller sa glycémie 4 à 6 fois par jour (au moins une fois à jeun et deux heures après les repas). Les objectifs, confirmés par la Fédération des Diabétiques, sont les suivants : il faut que la glycémie soit inférieure à 0,95 g/L à jeun et inférieure à 1,20 g/L deux heures après un repas

Néanmoins, il ne faut pas s’arrêter de manger dans le but de ne pas dépasser les seuils! Cela pourrait avoir un effet néfaste sur la glycémie. Et puis vous avez surtout des besoins en apports nutritionnels à combler, pour vous et pour bébé. 

Ces résultats doivent être renseignés dans un carnet de surveillance (via une application le plus fréquemment). Partagés avec l’équipe médicale, ce sont eux qui permettront de déterminer si la patiente a besoin d’un traitement par l’insuline ou non. 

capteur de glycémie sur fond bleu

2. Une activité physique

Les médecins recommandent souvent aux patientes de pratiquer une activité physique régulière et adaptée à la grossesse. Mais rassurez-vous, pas besoin d’aller faire un marathon intensif, au contraire ! Bien souvent, il s’agit simplement de marche à pied, car l’activité physique permet de diminuer la glycémie

3. L’alimentation à faible indice glycémique (IG bas)

Si vous vous demandez toujours que manger lorsqu’on a un diabète gestationnel, pas de panique, on y arrive! Nous vous souhaitons la bienvenue dans le monde de l’IG bas ! 

Autrement dit, vous allez devoir adopter une alimentation qui aura un moindre impact sur votre glycémie. Pour cela, il faut favoriser les aliments dits “IG bas” et limiter les produits ultra-transformés, souvent riches en sucres ajoutés. Les aliments IG bas (à faible indice glycémique) font peu monter la glycémie, et limitent donc le risque d’hyperglycémie. Les aliments ultra-transformés sont riches en sucres ajoutés et souvent assez faibles en fibres, ce qui provoque aussi une hausse de la glycémie. Pour rappel, c’est l’hyperglycémie qui conduit à toutes les complications énumérées plus haut. Si vous débutez dans ce mode d’alimentation, reprenons les bases. 

Qu’est-ce que l’indice glycémique?

L’indice glycémique d’un aliment représente l’impact des glucides d’un aliment sur notre glycémie. Pour mieux l’appréhender, on donne alors à chaque aliment une note de 0 à 100, 100 représentant le niveau maximum comme le sucre blanc raffiné. Plus un aliment à un IG élevé, plus il fera grimper notre glycémie (taux de sucre dans le sang). On classe ensuite les aliments selon leur indice glycémique dans trois catégories :

  • entre 0 et 55 : aliments IG bas 
  • entre 55 et 70 : aliments IG modérés 
  • au-delà de 70 : aliments IG élevés

A titre d’exemple, une carotte crue aura un IG de 16, et une pomme de terre frite aura un IG de 95. 

Bonne nouvelle ! Pour connaître les meilleures farines IG bas pour faire vos propres pâtisseries, c’est par ici ! Pour les alternatives au sucre blanc, vous pouvez lire cet article ! Enfin, voici une liste des IG des fruits. Vous trouverez de nombreuses autres informations utiles dans nos articles, alors n’hésitez pas à y faire un tour 😉

Les facteurs qui vont varier l’IG

Mais ce n’est pas aussi simple, car l’IG des aliments varie selon plusieurs facteurs ! La présence de fibres et donc le fait de consommer l’aliment entier, en purée ou en jus aura un impact différent. Le mode de cuisson va aussi faire évoluer l’IG des aliments, tout comme les épices associées par exemple. Vous l’aurez compris, l’IG des aliments peut être impacté par de nombreux facteurs ! Ne désespérez pas, nous sommes là pour vous aider et vous trouverez de nombreuses informations sur notre site 😉

Dans un premier temps, nous vous conseillons de lire notre article sur les facteurs qui influencent l’indice glycémique des aliments pour avoir une idée des différentes choses auxquelles vous pouvez faire attention !

Comprendre la charge glycémique

Même si l’indice glycémique est un excellent repère à utiliser, il est tout de même plus adapté de s’interesser à la charge glycémique. Cette dernière donne une information sur l’absorption du sucre dans l’organisme, et donc son impact sur la glycémie en fonction de la quantité ingérée. C’est une notion qui prend en compte l’indice glycémique d’un aliment, mais aussi le nombre de glucides présents et la taille de portion consommée ! Ainsi, vous verrez qu’il est préférable de consommer 100g de pastèque 🍉 plutôt que 100g de cerises,  alors que l’IG de la pastèque est plus élevé que celui des cerises 🍒!

Que manger avec un diabète gestationnel ?

Dans la grande majorité des cas, l’équipe médicale qui vous entoure vous aura conseillé un programme alimentaire bien précis. Nous ne nous prétendons pas médecins et nous préférons donc que vous vous référiez à des professionnels afin d’avoir des menus adaptés au diabète gestationnel mais aussi à vos besoins et possibilités de femme enceinte

Toutefois, si vous voulez vous renseigner par vous-même en parallèle, voici les lectures que nous vous conseillons : On vous a écrit un article sur tous les ingrédients à avoir dans son placard dans une alimentation IG bas, n’hésitez pas à aller y faire un tour ! Vous y découvrirez tous les ingrédients de base d’une alimentation IG bas, des meilleures farines aux meilleurs sucres à utiliser, en passant par quelques astuces.

En parlant d’astuces justement, voici un article qui devrait vous intéresser ! Pour vous faciliter la vie, nous avons listé 8 astuces faciles à mettre en place et qui vous permettront de diminuer l’IG de vos repas ! Entre la marche digestive et la présence de fibres précédemment expliqués, il existe de nombreuses techniques pour faire baisser l’indice glycémique de vos repas. Allez lire l’article pour comprendre plus en détails toutes ces astuces pour faire baisser l’IG de vos repas !

Pour avoir plein d’idées de recettes IG bas, vous pouvez aller regarder notre article sur les 5 idées de recettes de petit-déjeuner IG bas, nos recettes de gratins IG bas et nos recettes de burgers IG bas, et bien d’autres encore. Bien entendu, toutes nos préparations et nos farines sont aussi à faible indice glycémique, alors faites-vous plaisir ! 

*Tous nos produits sont testés en laboratoire pour en certifier l’IG

Chaque personne est différente alors il s’agira de tester plusieurs choses pour trouver son équilibre. Il arrive également fréquemment que certains repas passent très bien un jour, puis assez mal le lendemain. Ne culpabilisez pas, vous ne pourrez pas avoir la main sur tout. L’important est de faire de votre mieux pour arriver à stabiliser votre glycémie !

Pourquoi certaines femmes ont-elles un traitement à l’insuline et pas d’autres ?

Le traitement par l’insuline est prescrit aux femmes dont les mesures hygiéno-diététiques ne permettent pas d’atteindre l’objectif : l’équilibre glycémique. Les mesures hygiéno-diététiques sont constituées de l’alimentation et l’activité physique de la patiente. 

Si au bout de 7 à 10 jours de traitements hygiéno-diététiques correctement appliqués, les objectifs glycémiques ne sont pas atteints, le médecin pourra alors prescrire de l’insuline. Cependant, seule l’insuline sous-cutanée pourra être prescrite dans le cadre d’une grossesse. En effet, les antidiabétiques oraux sont contre-indiqués pour la femme enceinte. Le médecin prescrira alors des injections d’insuline rapides ou lentes. Pour toutes les peureuses des aiguilles, mettez toutes les chances de votre côté en vous donnant à fond dans l’alimentation IG bas et dans l’activité physique! Avec un peu de chance, cela pourrait bien suffire et vous permettre d’éviter les injections ! Et si ça ne suffit pas, ne culpabilisez pas ! Il arrive que des injections d’insuline soient nécessaires pour préserver votre santé et celle de bébé.

Récapitulatif des conseils pour bien vivre son diabète gestationnel

Infographie 6 astuces pour bien gérer son diabète gestationnel

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Sources

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